Le président de la fédération camerounaise de football s’achemine tout droit vers la fin de son mandat de 4 ans à la tête de l’instance faîtière de football au Cameroun. L’icône du football mondial et africain achève son mandat le 11 décembre 2025. L’hypothèse d’une candidature à sa propre succession s’assombrit face à une condamnation à lui infligée le 18 Août par la justice Espagnole pour une affaire de fraude qui remonte à l’an 2006.
Cette situation serait de nature à stopper le patron de la FECAFOOT dans son élan à redonner au football toute son grandeur.
Son mandat aura également été fortement entaché par des batailles de leadership au sommet entre lui et la tutelle en passant par le choix du manager sélectionneur de l’équipe fanion du pays.
Selon des sources le patron de la fecafoot aurait littéralement chercher à écarter un nombre assez important d’acteurs du football au Cameroun, en passant par des potentiels candidats à ce poste tant convoité par certains anciens footballeurs. On lui reproche également une gestion opaque des ressources financières qui ne lui accorderait pas toutes les faveurs .
Entre autres…le rendu footballistique des équipes camerounaises de football a été improductif tout au long de sa gestion.
Par ailleurs, les pro-Eto’o reconnaissent l’homme comme la grande victime de la scène, en s’appuyant sur sa volonté de détruire les cercles d’influences et combattre les prévaricateurs des revenus du football en faveur des joueurs. Une bataille qui lui aurait coûté les belles plumes de son image dorée
Samuel Eto’o fils reste pour l’instant le seul patron en exercice jusqu’au bout de l’année, où les fruits devront confirmer la promesse des fleurs