Yves RICOT mesure bien la gravité du malheureux incident qui s’est glissé sur les antennes de la prestigieuse chaîne de télévision qu’il dirige, indiquant pour le Cameroun, le drapeau d’un État fictif reconnu à un groupe sécessionniste qui menace la paix et l’intégrité politique au Cameroun. La grossière erreur aura causé une réaction illico-presto du Conseil National de la Communication et du reste de la communauté Camerounaise dans le monde. L’Homme avisé de la communication ne sait que trop bien l’impact diplomatique qu’entraînerait une erreur de cette envergure et n’a pas hésité à se rendre au pays dans une humilité plate pour adresser ses plus sincères excuses et explique qu’il ne s’y cachait aucune mauvaise foi et espère une meilleure atmosphère entre les deux cieux. Le ministre Camerounais de la communication le martelait encore : « C’est une méprise impardonnable ». Le drame est suffisamment significatif pour cette chaîne de télévision qui enregistre un audimat impressionnant dans le monde et reconnu comme faisant partie des chaînes de télévision équipées de personnels professionnels. À l’interview exclusive sur la chaîne de télévision Canal2? Yves RICOT n’attribue pas la faute à un quelconque stagiaire mais accuse plutôt un problème technique et continue d’implorer une meilleure collaboration, à l’exemple du chef de l’État Camerounais, mendiant de la paix!