Le ciel tombe sur la tête de NGA EBOA MOUBITANG Christelle, désormais ex officier de police de second grade en service au commissariat central numéro 1 de Yaoundé.
Si on lui accorde une certaine dextérité dans l’accomplissement des tâches relatives à sa compétence, Christelle EBOA porte avec elle, des accusations lourdes: des images parcourant le monde à la vitesse d’un débit internet révèlent une sextape à visages découverts et à caractère homosexuel.
Les images sans voiles ni grisailles, ont réduit au néant l’hypothèse d’une justification solide. Et pendant que ces vidéos suscientent une indignation de la part de l’opinion publique, d’autres vidéos ont très vite été relayées, présentants un décor qui s’assimile très étroitement à celui d’un commissariat.
Ce scandale intolérable ne lui coûtera pas moins que son retrait définitif des rangs de la police camerounaise.
Dans cette manoeuvre incompréhensible, plusieurs autres hauts cadres de la police ont été cités, parmi lesquels, le délégué régional à la sûreté nationale, lui aussi relevé et mis en exploitation par les services compétents en la matière.
La violation des emblèmes nationaux reste proscrite au Cameroun et partout ailleurs. Mêlée à l’homosexualité qui demeure interdite en Terre camerounaise.
Ceci a jeté du discrédit au sein des forces de maintien de l’ordre et semé de l’incompréhension au sein des populations mais la haute hiérarchie à son tour est restée rigide dans le respect des prescriptions légales qui encadrent les services de la police au Cameroun