La banalisation de la liberté d’expression et la prolifération des outils du numérique, a permis de faire tomber le voile blanc, qui cachait pourtant une haine amère, constatée au sein de la société camerounaise, pourtant marquée d’un sceau particulier, celui de la coexistence de plus de 250 ethnies vivants sur le même territoire.
Les propagateurs de discours haineux sur les réseaux sociaux, notamment Facebook, mettent à mal cette diversité qui fait pourtant la richesse du Cameroun. C’est alors que l’on souligne des propos soutenus par des intentions malsaines, qui entravent dangereusement le tissu social et le symbole d’une Afrique en miniature que représente le Cameroun.
Ces vertes et des pas mûres, jaillissent dans tous les sujets: politiques, sociaux et économiques, suffisamment pour attirer l’attention des pouvoirs publics qui rappelle le terme « la république », étroitement lié à celui de l’unité.
À ce sujet, le président de la république dans l’une de ses publications rappelait alors qu’une liberté sans limite est une liberté dangereuse, il s’est donc érigé en bon influenceur, pour rappeler les valeurs culturelles propres au Cameroun.
La sensibilisation et le bon exemple, se veulent tous azimuts au sein de la société et s’adressant de plus en plus à une jeunesse plus ou moins sensible aux vents de tous les horizons
Le 18 juin 2025, les autorités et la société civile ont consacré la journée à lutter activement contre les propos tendancieux, sources de nombreuses frustrations.