La journée du 10 mai 2025 porte l’insigne d’un acte dramatique, qui a soulevé les personnes de tous les âges et de tous les rangs, exprimant leur indignation vis à vis de la barbarie du nommé Dagobert Nwafo. Ce dernier, habitant du quartier Ngoa Ekelle dans la ville de Yaoundé, après une mésentente avec son voisin du même quartier, se serait dirigé poignard à la main dans la maison de son adversaire, où il aurait trouvé le petit Mathis, âgé de 6ans devant la télévision. Mr Nwafo aurait donc choisi d’arracher brutalement la vie à ce petit garçon, à coups de poignard, sans lui laisser une chance de survivre à ses assauts.
Cet acte condamnable et condamné par tous, ne trouve aucune explication crédible dans l’imagerie populaire. Pendant que certains crient à la mort et que d’autres exigent la responsabilité pénale, les premiers mots du concerné semblent biens placés et bien pensés, quand il avance le motif de son amnésie. Mr Nwafo Dagobert ne se souviendrait donc de rien, ce qui fâche, au regard de nombreuses réactions.
L’acte barbare de Mr Nwafo, aurait entraîné une conséquence grave dans la carrière artistique d’un de ses enfants. Selon les premières informations recueillies sur le terrain, le concerné porte bien le pseudonyme de « BLEK LE ROC », relativement à son attitude particulièrement violente, certains rapportent qu’il ne serait pas à son premier forfait.
L’affaire Mathis enscence et enflamme les débats depuis une semaine, pendant que les autorités judiciaires se sont saisis de l’affaire qu’on appelle désormais « affaire Mathis », afin que lumière soit faite et que justice soit établie pour les deux familles concernées.
Toutefois, cet acte rappelle l’urgence de la préservation des valeurs morales dans les sociétés actuelles, ainsi que la protection des enfants.