Le ton est donné à nouveau au ministère de la Santé publique ,que dirige le Dr Manaouda Malachie, pour accentuer la lutte contre le polyovirus, qui constitue encore un problème de santé majeur au Cameroun et dans certains autres pays Africains.
Pour stopper l’avancée de la poliomyélite, le ministère de la santé publique agit en synergie avec ses voisins du Tchad, de la République Centrafricaine, du Nigeria et du Niger, pour administrer des vaccins gratuits à tous les enfants âgés de 0 à 5ans, n’ayant pas encore reçu de vaccin.
Les descentes sur le terrain des agents détachés à cet effet sont régulières et sans fatigue. Aucun domicile n’est laissé pour compte, la détection en vue de la protection de ces petits bambins s’accentue au quotidien.
La plyomelite entraîne quelques fois de malheureux domages parmi lesquels, une paralysie définitives des membres, notamment, les jambes; un retard de croissance et même des fatigues et des céphalées anormales.
Ce virus discret se loge très souvent dans de l’eau contaminée par voie fécale ou orale, par une personne développant la maladie. Ces tout-petits sont malheureusement les plus exposés aux risques de contamination.
Le vaccin contre la poliomyélite fait partie des vaccins obligatoires, en vue de la nécessité des pouvoirs publics à obtenir des citoyens en santé. Cependant le malaise demeure prioritairement celui de l’individu et de sa famille.
Les pouvoirs publics appellent à cet effet les ménages, à recevoir gaiement, ces agents salvateurs qui sauvent gratuitement les enfants sous toute formes d’intempéries à coup de goutes, en rejoignant ceux qui disent bien que : » la santé n’a pas de prix »