Le verdict du Tribunal Arbitral Spécial (TAS), rendu et relayé en grandes pompes le 07 mars dernier, en faveur de la candidature de Samuel Eto’o fils, président très controversé de la fédération camerounaise de football , au sein du Comex-CAF. Laquelle, s’en est pourtant suivie de la confirmation de ce dernier, comme membre du comité exécutif de la confédération Africaine de Football.
Sur le banc des dirigeants, la célèbre figure de Samuel Eto’o, semble un peu trop rayonner, au dessus des autres. Il surplombe à ce poste, Seidou Mbombo Njoya, ancien président de la FECAFOOT.
Entre critiques virulentes et propos désobligeants à l’encontre de celui à qui l’on prête des intentions de gravir les plus hautes marches de la CAF en tant que dirigeant, c’est plutôt une émotion insoutenable, un fort sentiment de joie qui s’est dégagé ce 12 mars entre les dirigeants élus de la Confédération de Football, à l’air ravis, d’accueillir Samuel Eto’o fils, au sein de ce cercle très fermé de prise de décisions en matière de football africain.
Samuel quant à lui, entend porter haut la voix des footballeurs africains, dans le sens de l’amélioration de leurs conditions de travail et de leur traitement salarial, tel qu’il s’engagea en 2021, quand il fut élu président de la fédération camerounaise de football.
Objectif personnel atteint pour Samuel, mais également un intérêt collectif pour l’Union des fédérations de football de l’Afrique Centrale qu’il représente incontestablement avec l’aval de tous.