Encore connue sou l’appellation « Mpox », la Variole du singe est une maladie classée d' »urgence sanitaire publique de sécurité continentale » par le centre africain de contrôle et de prévention des maladies. L’alerte signalée, concernent davantage les pays atteints, parmi lesquels le Cameroun, où plusieurs cas ont déjà été testés positififs à cette maladie redoutable, parmis lesquels 02 décès enregistrés.
L’épidémie qui poursuit son chemin a été développée en République démocratique du Congo qui enregistre dailleurs le nombre le plus élevé de cas testés positifs en Afrique, avant de toucher sévèrement d’autres pays tels que le Burundi, le Kenya, le Rwanda, l’Ouganda etc..
Partie du cousin humain le singe, elle se présente sous forme d’erruption cutanée, qui sans traitement, conduit aux blessures béantes, qui apparaissent sur toutes les parties du corps humain, pouvant conduire au décès.
L’organisation mondiale de la santé avait pourtant lancé la première alerte, dans la période allant de mai à juillet 2023 avant de la reprendre en Août 2024, signalant la maladie sous prisme d’une préoccupation internationale.
Au niveau des personnels de la santé publique au Cameroun, il est recommandé des mesures préventives à cette épidémie qui a pénétrée le territoire. Il est demandé aux citoyens d’eviter la cohabitation et la manipulation non autorisée de ces animaux, mais également la consommation des viandes non cuites à point. Il est par ailleurs dit, que les activités sexuelles contre-natures, sont aussi un passage fluide pour la variole du singe.
Le ministre de la santé manaouda Malachie, active le bouton d’urgence à la sensibilisation et à la prise de conscience des populations vivants au Cameroun, tout en prescrivant des mesures de prise en charge urgentes, dans les différentes formations sanitaires, sur l’ensemble du territoire camerounais.