Stupéfaction autour du bilan des « Boissons du Cameroun », qui enregistre 729 milliards de recette en seulement une année, soit 1,1milliard de litres de bière consommés par les Camerounais.
Si l’on peut juger satisfaisante la santé financière de cette entreprise brassicole, il n’en demeure pas moins vrai que l’alcool, consommé en excès, peut représenter un véritable danger pour une jeunesse de plus en plus retardée ou piégée par les effets dramatiques de l’alcool.
Les statistiques rendues publiques ne tiennent pas en compte certains producteur privés de boissons alcoolisées: une volonté non avouée qui éviterait un calcul avec des chiffres exorbitants.
Une véritable machine à retarder le temps dira t-on, comme cette expression populaire très souvent utilisée : « perdre le temps ».
Le pays est pourtant sur le pas décisif d’une émergence, programmée pour l’horizon 2035.
Le citoyen lambda au Cameroun n’en a que cure des statistiques, le plus important c’est noyer les soucis, malheureusement dans une bouteille, qui depuis lurette n’a fait que les multiplier.
